Après 8 ans passés à la tête de l’École française d’Athènes, je tiens à exprimer aux autorités grecques, aux collègues des éphories, des musées et des universités, mes remerciements les plus vifs pour leur soutien et leur générosité. J’emporte avec moi le sentiment que, ensemble, nous avons travaillé avec succès dans une époque difficile et troublée à la connaissance, à la protection et à la mise en valeur du patrimoine de la Grèce. Les partenariats et les collaborations ont été la clé de notre réussite. Ma reconnaissance va aussi aux autorités françaises qui mettent chaque année à notre disposition les moyens pour mener une politique scientifique ambitieuse, ainsi qu’à nos mécènes et amis dont l’aide est aujourd’hui indispensable. Je les remercie tous pour leur confiance.
Je remercie surtout le personnel de l’École dont le travail et le dévouement ont rendu possibles les transformations dont l’établissement avait besoin. L’École est aujourd’hui un solide institut de recherche et de formation en sciences humaines et sociales dédié à l’hellénisme des origines à nos jours, dans les Balkans et en Méditerranée orientale. Ouverte sur le monde et la société qui l’entourent, elle s’adresse désormais aux publics les plus variés par ses publications, ses manifestations et ses expositions.
Je suis très heureux d’accueillir la nouvelle directrice de l’École française d’Athènes en la personne de ma collègue et amie Mme Véronique Chankowski, professeur d’histoire égéenne et économie antique à l’Université Lumière – Lyon 2.
Je souhaite à tous le meilleur pour les nouveaux défis qui ne manqueront pas dans le futur.

Le directeur
Alexandre FARNOUX